Table ronde « Territoires culturels : territoires de liberté »
Fatima Rodriguez. chargée de mission FADA (Fac amie des arts) pour le développement des activités artistiques de la faculté des Lettres et Sciences humaines Victor Segalen de Brest. Elle a été auparavant responsable culturelle du Centre galicien Haute Garonne (coopération culturelle du gouvernement régional de la Galice), entre 2003 et 2009. Dans ce cadre, elle a pu fonder une biennale de poésie et poétiques Occitane, galicienne et catalane à Toulouse, en partenariat avec l’Université de Toulouse 2. Elle a exercé dans cette université entre 1989 et 2008. Co-fondé aussi, avec Ramón Chao (Université de Toulouse 2 et RFI) le prix de récit Cide Hamete Benengeli, pour les textes écrits dans des langues de contact avec l’espagnol. Son activité de recherche est centrée sur la Caraïbe hispanophone, dont elle traite les questions de genre dans la littérature et les arts plastiques (XXe et XXIe siècles).
Yann Stéphant. Directeur du Festival de cinéma de Douarnenez depuis 2014. Après des études d’histoire à la faculté de Rennes puis à l’Institut Pratique de Journalisme à Paris, il a multiplié les expériences dans le milieu du journalisme avant d’intégrer le festival du film insulaire de Groix, son île natale. D’abord bénévole, il devient responsable de la programmation en 2003 puis directeur de 2005 à 2012.
Séverine Cachat. Directrice la Maison des Cultures du Monde-Centre français du patrimoine culturel immatériel (Vitré). Docteure en anthropologie sociale et culturelle, elle a travaillé dans l’océan Indien sur les processus de patrimonialisation et leurs multiples enjeux. Chargée d’enseignements aux universités Rennes 2 et Paris 3, elle est membre du conseil scientifique du MuCEM, expert auprès du Comité du patrimoine ethnologique et immatériel (ministère de la Culture), et jury pour le festival international de cinéma ethnographique Jean Rouch depuis 2014.
Nathalie Narvaez. Docteure en langue, littérature et civilisation espagnoles. Elle s’intéresse notamment aux écrits de femmes témoins de la violence extrême, en particulier au Rwanda et au Guatemala. Enseignante en espagnol, anglais et français à l’UBO-Brest, elle est aussi traductrice technique et littéraire.